27 Mars 2021 On nous gonfle

Quoiqu’il en coûte a dit notre président. Il a juste oublié de dire à qui cela coûte.

Il décide, nous payons.

Tests, vaccins gratuits.

Comme beaucoup d’autres choses gratuites en santé, on oublie de nous dire qui paye. Et c’est toujours le bénéficiaire du gratuit qui finit par payer. Pas tous les bénéficiaires, pas tous les payeurs. On appelle ça la redistribution, mais il y a un payeur. Et ce n’est pas celui qui prend la décision, ni celui qui vote (ou décide des lois) qui paye le plus, mais celui qui ne peut se défiler de ses obligations fiscales.

On entend aujourd’hui que le gouvernement va donner un nouveau tour de vis.

C’est la rengaine à la mode sur les chaines et la communication.

On oublie de dire qui visse et avec quoi, et qui va être vissé et comment. Pourquoi, on le sait, parce que la situation va mal. Elle va mal à cause de l’insouciance des vissés, de leur incapacité à comprendre bien sûr. Pas à cause de ceux qui ont les manettes et qui ont tout bien fait. Les pauvres ont de multiples priorités qui guident leurs choix et leur omniscience les oblige à dicter et imposer leurs choix. Les pauvres ?

On oublie de dire qui est chargé de serrer la vis, en faisant respecter des consignes abscondes que sécrètent nos Enarques et technocrates confus dans leurs têtes et qui « en même temps » ont pour priorité de ne jamais être mis en cause. D’où des textes alambiqués, pléthoriques, logorrhéiques et incompréhensibles au commun des mortels. Car mortels nous le sommes bien et chair à canon de cette guerre dont les maréchaux se retranchent derrière les textes assurant leur propre sauvegarde.

Finalement nous payerons l’incapacité de certains stratèges qui n’ont pas le courage de reconnaitre qu’ils sont débordés, qu’ils n’ont rien prévu, sinon des économies soi-disant poussés par la haute stratégie de l’Europe dont on connait les compétences et surtout l’idéologie.

Le tour de vis (de vice ?) est donné grâce au « bras » du pressoir (modernisée, une version permet de gonfler, on ne sait qui ! les citoyens ?). Qui donne l’ordre de faire tourner la vis ? Probablement celui qui ne veut pas se mouiller ou mettre la main à la pâte. Il ne faut pas y laisser ses traces d’ADN de libéralistes. Libéralisme Idéologique politique dont seule la partie économique est prise en compte (cf. A méditer), quoi que.

Pressoir - Wikipédia

Le pressoir est une machine agricole utilisée pour extraire par pression le jus ou l'huile de certains fruits, graines ou végétaux. Les pressoirs actuels sont généralement horizontaux, électriques et à vis. La rotation du corps du pressoir fait avancer, l'un vers l'autre (vers le milieu), deux disques sur une vis sans fin.

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Quoiqu’il en soit il en résulte un jus de pressoir fait des impôts des contribuables, pour qui tout est gratuit mais payant « en même temps ».

En hommage à ma fille docteur en psychologie ayant pris le thème du photocollage. Pourvu que cela ne lui révèle pas trop de ma personnalité.

Photomontage amateur à partir d’images Wikipédia

Enfer de Dante, pressoir à vis et Méphistophélès

Macrophélès serrant la vis du contribuable pour récolter son énergie et sa thune.

Méphistophélès - Wikipédia

Méphistophélès, dit M. Léon , est l'un des sept princes de l' enfer, incarnant parfois le diable sur terre. Les racines sont probablement à chercher du côté du latin mephiticus et : " exhalation pestilentielle ". Méphistophélès est l'incarnation que prend le diable pour rendre visite au docteur Faust.

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Il y est bien dit que Méphistophélès ne se trompe jamais et qu’il nie toujours.

« Je suis l'esprit qui toujours nie ; et c'est avec justice : car tout ce qui existe mérite d'être détruit, il serait donc mieux que rien n'existât »

A méditer

Libéralisme économique - Wikipédia

Le libéralisme économique est l'application des principes du libéralisme à la sphère économique. Cette école de pensée, dont la dénomination est associée au siècle des Lumières, estime que les libertés économiques ( libre-échange, liberté d'entreprendre, libre choix de consommation, de travail, etc.)

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Libéralisme - Wikipédia

Le libéralisme est un courant de pensée qui prône la défense des droits individuels ( liberté, sécurité, propriété...), au nom d'une vision fondée sur l'individu et la coopération volontaire entre les Humains. C'est une éthique du capitalisme. Le système libéral repose donc sur la responsabilité individuelle et le travail.

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On nous gonfle, nous payons