23 Novembre 2020 Qui nous prend pour des billes

J’ai beaucoup hésité à vous communiquer ces calculs faits par Maudrux dans son Blog.

Ils méritent réflexion.

Comme je considère que vous êtes grands, je vous les livrent quand même.

À vous de réfléchir

Covid-19 : derniers chiffres.

Il y a 1 mois, je vous signalais les manipulations de chiffres du discours du Président, afin de justifier le confinement à venir. Il y a 15 jours, après avoir signalé la chose en réponse à un commentaire 3 jours plus tôt, chiffres et courbes à l'appui, je vous annonçais la fin probable de la seconde vague, qui a démarré juste avant le confinement, devenu inutile.

https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr

J’ai entendu ceci au journal de CNEWS ce matin (dommage que l’appellation de cette chaine utilise des termes anglais pour une chaine franco-française).

Le pavillon de la banlieue parisienne où il y a eu 300 personnes faisant la fêtes, dont une ( ?, cela sent l’intox) positive Covid, dans un lieu qui aurait été loué par internet à « l’insu du plein gré » du propriétaire. Ce lieu a été à nouveau utilisé cette nuit pour une fête de filles une douzaine à ce qu’il semble.

Pour la première fête on avait arrêté que l’organisateur, et recommandé aux autres de se faire tester (à nos frais ?), quelle mansuétude. Les voisins s’étaient plaints du chahut qui semble avoir eu des difficultés à être calmer !

Cette fois-ci à nouveau les voisins ont signalé.

Rien n’avait été fait, l’accès était libre, pas de scellés, pas d’enquête pour le premier rassemblement ? Y aurait-il eu des jeunes de la « jet set » de parents connus dans la première vague ?

Cette fois-ci tout le monde semble avoir été pris. Des noms vite !

Coronavirus : une nouvelle fête clandestine à Joinville-le-Pont, une semaine après la première

Une semaine après avoir été le théâtre d'une fête géante réunissant plus de 300 personnes en dépit du confinement, un pavillon de Joinville-le-Pont (Val-de-Marne) a accueilli une nouvelle soirée clandestine ce dimanche. Alertés par des voisins, les forces de l'ordre sont intervenues en début de soirée.

https://www.cnews.fr

Toujours à l'insu du propriétaire?

Il faut croire que ces jeunes rebelles n’ont qu’un but dans la vie : faire la fête, boire des coups, s’affranchir de toutes règles.

Je peux comprendre ça, vouloir être libre ! Mais il ne semble pas que cette liberté se manifeste par l’occupation des amphis pour recevoir des cours, l’occupation de librairies ou de bibliothèques.

Ou éventuellement par l’engagement en masse pour porter secours aux plus démunis !

Quelle jeunesse décrit-on ? Pourquoi ?

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Une vingtaine de médecins internes de l'hôpital de Tarbes (Hautes-Pyrénées) ont suscité la polémique. En cause ? Une fête organisée dans la nuit de mardi à mercredi dans la résidence du centre hospitalier de Bigorre, alors qu'une seconde vague de Covid-19 touche le pays.

https://www.cnews.fr

Heureusement le directeur à sévi, mais n’était pas au courant, sans doute dormait-il à son domicile après une longue présence dans son bureau à pondre des protocoles vides de sens allant dans le sens des prescriptions de la DGS (Direction Générale de la Santé).

(Je ne vous fais pas lire toute la littérature que je reçois de cet organisme technocratique et prolixe. Surtout que j’ai reçu il y a quelques jour une circulaire pour une fois (assez) concise et assez pratique quoique témoignant d’une méconnaissance de l’organisation sur le « territoire » de la santé en ville et de ses contraintes pratiques !)

Les internes font la fête en dehors de leurs services, entre eux, sans plus de gestes barrières ! Oh c’est mal.

Mais eux au moins travaillent au contact des patients covid, mal payés, avec du matériel de protection parcimonieusement attribué, et éventuellement sont rappelés au boulot avec un test positif. Le directeur le sait-il ?

J’avoue cependant que je trouve stupide de tels comportement de la part de soignants tout en pensant que nous tous, mis dans des situations de contraintes pas toujours justifiées, avons parfois besoin de faire exploser les barrières. Personnel de santé mais aussi tout citoyen mis devant des contraintes inexplicables ou incohérentes.

Cohn Bendit a-t-il quelques chose à dire lui qui a donné l’exemple dans sa jeunesse non seulement de la transgression mais aussi de la rébellion. Maintenant il est devenu le toutou des puissants et le parangon des vertus.

La vieillesse est en effet un grand naufrage ! Que pour certains je l’espère.